• 23-Les journalistes de base-peï

    Au-delà des « responsables-modérateurs-escamoteurs » d’information de nos deux principaux quotidiens, il me reste à parler des « autres » : la centaine d’encartés répartis entre les deux titres ; qui, pour ne pas être « responsables », n’en dépendent pas moins déontologiquement, des règles éthiques de leur profession. (« Charte d’éthique professionnelle des journalistes » - Syndicat National des journalistes = S.N.J. – et – « Charte de Munich » Déclaration des Devoirs et Droits des journalistes.)

     

    Pour introduire le sujet – et par souci d’économie d’énergie – je récupère l’un  de mes innombrables commentaires publiés sur « Zinfos 974 » :

     

    *[…] Côté « liberté de la presse » il aurait mieux valu oublier les « journaleux » de la Réunion… ; et avoir l’élémentaire délicatesse de ne pas les mêler à ceux qui perdent leur vie – de différentes façons – pour leur courage et/ou leur liberté de ton. Les « nôtres » ne risquent rien de si grave ; ils ne risquent que leur « gamelle » (Terme favori du grand reporter Tillier…) ; je pourrais comprendre qu’ils fassent profil bas, seulement pour ça ; mais pas admettre la médiocrité, la stupide suffisance, la flagornerie, la lâcheté et la malhonnêteté de trop nombreux d’entre eux. Dans l’affaire Hilaire Grondin/René-Paul Victoria/Gilbert Annette […] j’ai pu faire une étude de la corporation « en live »…depuis 7 ans !)

     

    *Vous l’aurez  compris, il est impossible de trouver un « vrai » journaliste à la Réunion ; ceux qui aspireraient à l’être (Une mini-minorité ; pour leur éviter des ennuis, je tairai leur nom…) sont rudement encadrés, maintenus sous tutelle. (Ayant moi-même vécu un licenciement disciplinaire, je peux comprendre qu’ils s’inclinent ; mais là, il ne s’agit pas de ça !)

     

    *Faisons fi des Yannick BERNARDEAU, Thomas LAURET, Ludovic PROUVOST, Sébastien GIGNOUX et autres  petits déchets du métier ; allons directement aux deux phénix qui au nom et sur ordre de leurs employeurs respectifs (JIR et Quotidien) ont, de concert, touché le fond du misérable, modèles de « servitude volontaire » de la presse locale… Ces deux petits « nazillons » décérébrés – mais très sûrs d’eux – ont su choisir leur « gamelle »…

    *Je les cite : Bruno GRAIGNIC du JIR et Pierre-Yves VERSINI du Quotidien.

     *Je relate, ci-après, les circonstances dans lesquelles ils sont entrés dans ma vie, en faisant preuve de leur talent et de leur sens de la déontologie : 

     

    En rappel : *il s’agit là – encore et toujours – des effets de la CONSTRUCTION  SANS PERMIS de CONSTRUIRE et de la FRAUDE FISCALE qui va avec ;

     

    *Mon rendez-vous, à ce propos, avec Gilbert ANNETTE, le 01 Avril 2009 et mon courrier du 15 Juin 2009 rapportant tous les points évoqués lors de cette rencontre et lui enjoignant d’agir. (Ce courrier a été publié le 28 Avril 2012 sur « Zinfos 974 » et se trouve dans les archives du journal.)

     

    *Comme je ne voyais rien venir, je décidai de renouveler mes interpellations – publiquement, cette fois – au Conseil municipal du 29 Juin 2009 ; occasion  d’autant plus propice que ce Conseil se flattait d’une grande première : la transmission des débats en direct, par internet…

     

    *Le JIR et le QUOTIDIEN persistant à maintenir l’Omerta sur les scandales Urbanistiques  municipaux, je décidai, non seulement de ne pas les « solliciter », mais de les tenir soigneusement dans l’ignorance de ce projet.

     

    *Ainsi, le soir du 29 Juin j’étais là, sagement assise dans mon coin favori. Rusé comme un vieux singe, Gilbert ANNETTE – encore « chaud » de nos récents contacts et alerté par ma présence – avait  cédé  la présidence à sa 1re adjointe, Monique ORPHÉ et s’était positionné dans mon dos ; avec sa milice à portée de main…

     

    *Dès que je me suis levée et ai ouvert la bouche, il a lancé sur moi quatre robustes policiers qui se sont mis en devoir de me neutraliser : deux hommes aux jambes et deux femmes aux bras (j’ai pu apprécier à quel point les femmes sont plus motivées que leurs collègues masculins, n’hésitant pas à employer les gestes « anti-forcenés » sur la grand’mère de 74 ans que j’étais alors…)

     

    *Comme de juste, je résistai : brutalement et douloureusement maîtrisée, j’ai dû user de ce qui me restait pour me défendre et faire cesser cette violence : j’ai mordu le bras de la plus efficace des deux policières (Tout en évitant – sciemment – d’enlever le morceau…) À quatre, ils ont réussi quand même à me traîner dehors et me jeter à terre, hurlante…jusqu’à être prise en charge par les pompiers et conduite aux urgences du C.H.D. où j’ai retrouvé ma « mordue ».

     

    *À noter que les trois guenons féministes composant le harem du mâle dominant ANNETTE (Monique ORPHÉ -1re adjointe, Ericka BAREIGTS-2e adjointe et Nalini  VÉLOPOULÉ)  sont restées de marbre

     

    *Un très grand moment de « communication » en forme d’original « Fait divers » ; sauf qu’il a failli être raté, Bruno GRAIGNIC du JIR et Pierre-Yves VERSINI du Quotidien, s’étant lassés du cirque, étaient partis prendre l’air… Fallait-il  pour autant priver leurs lecteurs de ce qu’ils avaient manqué ? Qu’à cela ne tienne ! Nos « encartés-peï » n’ont pas besoin de voir pour témoigner, dire et écrire…

     

    *Et voilà ce que ça a donné : (je retranscris à la virgule près leur prose de petits rats d’égouts.) : 

     

    • Pour le JIR du 30 Juin 2009 :
    • Titre « Les comptes ne font pas les bons amis »
    • Annexe de dernière heure : « Une expulsion en plein direct ». Signé B.G.

     

    « LES COMPTES NE FONT PAS LES BONS AMIS À SAINT-DENIS 

    Une expulsion en plein direct

    Alors que ça tourne (trois caméras, de la bande passante pour mille connexions en même temps…) et ça diffuse depuis environ deux heures sur le site de la Ville, Juliette Pavard, accompagnée de son fils, a voulu profiter de cette tribune pour crier son désespoir.

    Depuis des années, cette habitante des Hauts de Bellepierre est en contentieux avec la Ville. En cause, des faits qui remontent à 2005. Un de ses voisins démarre la construction d’une maison sans permis et, qui plus est, en rognant sur son terrain selon ses dires. Le permis aurait finalement été régularisé en 2006.

    Mais la bataille judiciaire, longue et pénible, n’est pas à son terme. René-Paul Victoria, maire de l’époque, son 2e adjoint, Dominique Fournel, et le service de l’urbanisme attaquent en diffamation et gagnent. Aujourd’hui, avec l’avènement du PS, elle espérait obtenir la démolition de la construction voisine après quatre ans de bataille. Mais, son intervention s’est soldée par une expulsion manu militari de la salle polyvalente. Le coup d’essai de la mairie, 5 000 euros annoncés, a donc essuyé les plâtres des aléas du direct. Mais la Ville veut généraliser les diffusions en live tout de même. »  B.G.

     

    • Pour le QUOTIDIEN du  01 Juillet 2009 :
    • Titre : « Débats sous haute surveillance »
    • Annexe de dernière heure : « Crise en plein conseil » - Non signé.

     

    « DÉBATS SOUS HAUTE SURVEILLANCE

    Crise en plein conseil

    Le conseil municipal était lundi soir pour la première fois diffusé sur internet (639 visites ont été comptées sur le site). L’occasion pour les élus sans doute plus encore que d’habitude de s’écouter parler et d’expliquer et réexpliquer le contenu de dossiers ou d’une politique qui n’échappe pas à leurs collègues mais peuvent peut être ne pas être connus de tous les internautes !

    C’est humain, c’est « la démocratie participative », comme s’en amuse Gilbert Annette, pas peu fier de présenter aux dionysiens en direct le travail réalisé.

    Mais cette web-TV a aussi été l’occasion pour une administrée bien connue des services, Juliette Caranta-Pavard, de s’emporter et d’apostropher d’abord les élus de l’opposition, René-Paul Victoria et Dominique Fournel en tête, puis ensuite l’ensemble des élus et l’administration municipale.

    Juliette Caranta-Pavard, 73 ans, est en conflit avec la mairie depuis 2006 pour une histoire de de construction d’un de ses voisins qu’elle estime sans permis. Elle a déjà fait une grève de la faim en 2008 et a porté l’affaire au tribunal, ayant elle-même été poursuivie pour diffamation.

    Elle est intervenue hier durant l’examen du compte administratif 2008 alors que le maire, comme le prévoit la loi, avait cédé la direction des débats à Monique Orphé.

    Juliette Caranta-Pavard, faute de dialogue possible, a été évacuée par la police municipale pour la sortir de la salle polyvalente, puis prise en charge par les pompiers à l’extérieur. » Article non signé. 

     

    *Pour savoir qui étaient les auteurs de ces deux torchons,  j’ai appelé  le JIR qui m’a  donné le nom de Bruno GRAIGNIC ; pour le Quotidien, j’ai dû attendre que Pierre-Yves VERSINI me confirme – grossièrement, haineusement – sa paternité.

     

    *J’ajoute encore, que ces deux-là n’ont pas vu intérêt à se rapprocher de moi pour parler de moi ; et en quels termes ! – de vraies petites pourritures…

     

    *Enfin, j’ai  adressé un « Droit de réponse » en courrier sécurisé, le 25 Septembre 2009, aux deux journaux ; lesquels se sont contentés de ne pas bouger… Ces deux « Droit de réponse » ont été joints à ma « Lettre Ouverte » du 04 Janvier 2010, interpellant les Directeurs de publication Jean-Baptiste MARIOTTI du JIR et Thierry BENBASSAT du QUOTIDIEN ; qui n’ont pas bougé…Cette « Lettre Ouverte », sous forme de tract recto-verso, a été largement et publiquement diffusée. Voilà ci-joint les 2 pages originales de ce tract :

     

     

     

     DROITS DE REPONSE AVORTES  

     Pour tous ceux qui auront pris connaissance de ces écrits, je suppose qu’il n’y a rien d’autre à ajouter…

     

    …ERREUR !, il y a quelque chose à ajouter au sujet d’un, que, sans mon Quotidien du matin, j’ai failli oublier :* Bruno GEOFFROY, Rédacteur en chef au Quotidien en 2007-2008, période la plus « sensible » de l’affaire du tueur GRONDIN, mon voisin fraudeur... C’était l’heure où pour étouffer ma voix, se mettait en place la plus incroyable opération de « Justice » répressive et volontairement persécutrice,  jamais encore engagée dans le minable  système mafieux de la Réunion.

     

    *Ce Bruno GEOFFROY que j’avais « sollicité », le 28 Août 2007, qui m’avait annoncé la visite d’un de ses journalistes « pour évaluation, ne voulant pas s’engager dans n’importe quoi » et qui s’est courageusement défilé ; ce, malgré mes fax de rappel des 12 Septembre et 25 Octobre 2007.

    En Novembre, j’apprenais par Damien VALETTE, journaliste au Quotidien, que je me  trouvais « dans une impasse » (Sic)…

    *L’ « impasse », c’était Bruno GEOFFROY, qui trop heureux de contribuer à la bonne santé de la « Mafia » réunionnaise avait choisi de me sacrifier ; grossièrement, sans état d’âme…

    *Bruno GEOFFROY, cette petite crotte méprisante et prétentieuse, qui s’insurge tout droit, quand on qualifie de « petit merdeux » ceux qui lui ressemblent !

    *Ce Bruno GEOFFROY, Rédacteur en chef au Courrier de l’Ouest,  que le Quotidien ressuscite pour moi – après 5 ans de sain oubli, en le citant dans ses colonnes comme « PAS CONTENT : « Je n’accepte pas qu’on puisse traiter un journaliste de petit merdeux » »(Le Quotidien du 05 Août 2013).

     

    **Mais, Bruno GEOFFROY, ils sont légion les « petits merdeux » dans votre corporation ; et je puis vous assurer  – sans conteste possible – que c’est exactement sous cet aspect que je vous ai perçu lors de nos « contacts » professionnels, en 2007 et en 2008…

    **Une dernière remarque : la défroque d’« indigné » ne sied pas à votre type de beauté, pour peu qu’on vous connaisse…

     ***

    La prochaine rubrique traitera du monde judiciaire ; où le mot « con » – familier à la corporation – trouvera sa juste place.

    St DENIS le 10 Août 2013

     

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