• 10-« Affaire Juliette Caranta-Pavard »

     

    *  "Affaire Juliette CARANTA-PAVARD" - (Ainsi que l’avait désignée le Procureur général DOUMAS dans son courrier du 25 Novembre 2008.). À noter que le côté "penché" dudit courrier est d'origine : le Procureur général DOUMAS s'était fait une spécialité du "désordre", voire du "tordu"... ( Tract du 15.12.11 sur les Procureurs-peï. ) 

    AFFAIRE Juliette CARANTA-PAVARD

     

     

     

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    Avant que d’avoir apostrophé, sans ménagement, le Président du Tribunal administratif, Francis CARBONNEL  -  les dizaines de fax adressés aux quatre responsables de l’urbanisme de St DENIS étant restés sans écho  -  j’ai tenté un contact direct avec le maire VICTORIA :

       *Par une demande de rendez-vous (Fax du 19 juin 2007) Mme TARTAROLLI, secrétaire privée du maire, m’a fait savoir que j’arrivais juste après 5 000 sollicitations, non encore satisfaites…

       *Seule me restait la possibilité de trouver un moyen de forcer la porte ; cela s’est fait sous la forme d’une question écrite du conseiller Michel TAMAYA, interpelant publiquement le maire sur l’affaire Hilaire GRONDIN, lors du conseil municipal du 1er octobre 2007 ; au grand scandale de l’intéressé et de son âme damnée, l’adjoint à l’Urbanisme, Dominique FOURNEL, qui, chargé de répondre, a eu quelque difficulté à assumer…( Extrait du Procès-verbal de séance du Conseil municipal du 1er Octobre 2007)

    AFFAIRE Juliette CARANTA-PAVARD

     

     

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    Cet éclat s’est soldé par mon expulsion de la salle du Conseil par la Police Municipale.

    C’est donc au cours de ce Conseil du 1er Octobre 2007 que j’ai appris que « la Mairie » avait déposé plainte contre moi auprès du Procureur de la République, François MUGUET.

    Ainsi, lorsqu’il fut clair pour « la Mairie » que je n’entrais pas dans le moule de la « soumission consentie », ses représentants avaient décidé de frapper un grand coup ; je ne pouvais imaginer jusqu’à quel point !! J’ignorais, alors, qu’en la personne de l’avocat Robert CHICAUD, « conseil » de René-Paul VICTORIA, la Mairie avait là un guide de talent, apte à trouver le meilleur choix d’une formule de répression-dissuasion à m’appliquer…

    En outre, l’avocat CHICAUD ne pouvait qu’être fortement motivé devant la perspective d’une année pleine de « défense »… (Je ne sais pas si les honoraires de M. CHICAUD ont été réglés par la Mairie, avec l’argent de mes impôts ; c’est possible ! )

     

    Mais, il m’a fallu attendre le 27 Décembre 2007 – qui, comme par hasard, se trouvait être la date anniversaire de la délivrance par Dominique FOURNEL du plus que tardif « permis de construire » aux consorts GRONDIN, du 27 Décembre 2006… - pour découvrir que la fine équipe, en charge de l’Urbanisme de la Mairie, s’était surpassée pour me faire ma « fête » au cours de cette mémorable journée ; jugez plutôt :

    Journée du jeudi 27 Décembre 2007 :

    .le matin : je découvre ma voiture, garée au 4ème étage du parking Ste Anne, la lunette arrière explosée ! (par un groupe de « jeunes », identifiés et jamais inquiétés…)

    .à midi, arrivée chez moi, je trouve dans ma boîte aux lettres 2 citations à comparaître comme « prévenue », pour cause de « diffamation »… :

          *Le 06 Février 2008, sur plainte conjointe de Brigitte LAMY, Directrice de l’urbanisme réglementaire ( !) et d’Etienne CHARRITAT, Directeur général de l’Urbanisme…

          *Le 29 Février 2008, sur plainte conjointe de René-Paul VICTORIA, maire de St Denis et de son adjoint à l’Urbanisme, Dominique FOURNEL…

     

    J’ignorais, alors, que ces comparutions avaient été programmées «  à rallonge » afin de s’étaler sur TOUTE l’année 2008… Ceci, afin de me « punir » mais aussi de m’  « occuper » à temps plein afin que je ne puisse rien vivre d’autre que cette ignoble persécution,  concoctée et concertée entre les politiques, la magistrature et les petites mains de la Justice, les huissiers… ; un vrai lynchage, par une meute de « pros » !!

    « Prévenue » novice et citoyenne appliquée, je n’ai pas pensé un seul instant à me soustraire à cette VENDETTA digne de petits truands ; tout en décidant de me présenter, chaque fois, seule, SANS AVOCAT, bien déterminée à ne pas m’abaisser à me défendre.

     

         Je précise que le dossier qui  va être présenté ci-après a été rédigé en Février 2009 à l’intention des 54 conseillers municipaux  de la mandature ANNETTE. (Élections municipales du 16 Mars 2008.) Un exemplaire a été transmis – avec décharge – à chacun d’entre eux ; je souhaitais, ce faisant, attirer l’attention des nouveaux élus sur ce que le prédécesseur de Gilbert ANNETTE avait pu commettre… Las !, las !! J’ai été immédiatement dessillée : sur les 43 élus de la majorité destinataires de ce document, un seul, François JAVEL, en a spontanément accusé réception ; les 42 autres se sont courageusement esbignés – dont les 2 fraîchement élues députées BAREIGHT et ORPHÉ… - allant jusqu’à nier avoir reçu le document ! L’avenir était prometteur ; ça se confirmera…

     

          Je reviens à l’exposé détaillé du volet PÉNAL de la judiciarisation de la lamentable affaire GRONDIN/VICTORIA/CARBONNEL/ANNETTE, etc…, etc… qui se présente, ci-après, en 5 pages, soit :

     

          *Lettre ouverte d’introduction ;

          *Tableau en 3 pages : chronologie des comparutions ;

          *Récapitulatif des « investissements » judiciaires.

    Le tout daté du 16 Février 2009.

    AFFAIRE Juliette CARANTA-PAVARD

     

     

     

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    Je crois pouvoir faire confiance à mes lecteurs pour avoir apprécié à sa juste valeur cette opération de HARCÈLEMENT MORAL JUDICIAIRE COLLECTIF sur une femme de 72 ans… ; une femme n’ayant rien « commis » d’autre que de clamer, brutalement, la vérité.  Ce qui a valu à la corporation ce courrier du 06 septembre 2009 adressé au Procureur général Raymond DOUMAS et diffusé aux principaux acteurs-décideurs de cette pitoyable affaire : 

    AFFAIRE Juliette CARANTA-PAVARD


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    Cette première évaluation des dérives de la magistrature réunionnaise (c’est ICI, à la Réunion ; et nulle part ailleurs…) m’a conduite à vouloir partager les fruits de mon extraordinaire expérience ; sous forme de ce tract du 15 Décembre 2011, librement et publiquement diffusé :

    AFFAIRE Juliette CARANTA-PAVARD


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    Un de mes amis, psychologue, m’a conseillé un jour de distinguer « ce qu’ILS ont fait » de « ce qu’ILS m’ont fait » ; j’avoue ne pas y parvenir…

          De même, je ne parviens pas à accéder à la grande sagesse de la très célèbre « Mme AUDE »qui sur « la radio FREE-DOM », répète indéfiniment : «  je ne commente jamais les décisions de Justice. »… 

     

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